Longues peines

Livre

Teulé, Jean. Auteur

Edité par Pocket. Paris - 2011

Voir la collection «Pocket»

Autres documents dans la collection «Pocket»

Classification
Roman

1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Musique audio - 2024 - Turning back the time-Greatest hits

Disponible à Médiathèque René-Cassin

Discothèque | 781.66 FOR | Compact disque | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Azincourt par temps de pluie

Livre | Teulé, Jean. Auteur | Mialet Barrault | 2022

Bienvenue parmi les ignobles

Livre | Teulé, Jean. Scénariste | Delcourt productions. Paris | 2014

Charly 9

Livre | Teulé, Jean. Auteur | Julliard. Paris | 2011

Comme une respiration...

Livre | Teulé, Jean. Auteur | Julliard. Paris | 2016

Charly 9

Livre | Teulé, Jean. Scénariste | Delcourt. Paris | 2013

En savoir plus

Biographie

Ronald Isley, également connu sous le nom de Ron Isley, né le 21 mai 1941 à Cincinnati, est un chanteur et compositeur américain. Isley fait partie du groupe The Isley Brothers qu'il a fondé avec ses frères.

Ecouter l'album sur Deezer

Artistes similaires

Avis

Avis des lecteurs

  • Surprenant 3/5

    Le monde carcéral, sujet difficile et portant à la réflexion est traité par l’auteur d’une façon baroque, avec une touche d’humour voire de poésie. Il nous dépeint des personnages, attachants souvent, côté surveillants (es) comme côté détenus (es). Leur vie d’avant la prison, leurs actes parfois terribles condamnés par la société, qui ne les rendent pas moins humains avec leurs émotions, leurs sentiments pouvant surprendre, étonner, attendrir. L’on ne peut que sourire, parfois, à certaines situations qui peuvent nous sembler cocasses mais qui sont dramatiques. Prison tenue par un directeur, investi dans le rôle du « clown blanc » par amour envers sa femme, perturbée mentalement après plusieurs fausses couches et par manque viscéral d’enfants. Cet univers carcéral avec toutes les horreurs qu’il contient, la violence latente, la peur, le suicide, le viol, la folie… est bien sombre et étouffant. Une petite lueur quand même avec une certaine amitié pouvant se créer, voire une forme d’amour. En filigrane, on perçoit la limite, faille, d’un système pénitentiaire ne pouvant apporter une certaine aide pouvant faciliter le retour à la vie « dehors », lors d’une libération. Les difficultés psychologiques sont pratiquement identiques pour les surveillants (qui peuvent aussi se sentir « incarcérés ») car soumis à une grande pression, à un grand stress, même s’ils peuvent rentrer le soir chez eux.

    Oriane - Le 16 juin 2020 à 12:51