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Musique audio - 2001 - Ayeshteni'
Disponible à Médiathèque René-Cassin
Discothèque | 781.62 EGY ATL | Compact disque | En rayonAutre format
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Biographie
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Biographie
Natacha Atlas née à Schaerbeek (Bruxelles) le 20 mars 1964, est une chanteuse belge d'origine anglo-egyptienne. Natacha Atlas s'est fixé pour mission de rapprocher l'Orient et l'Occident sur le plan musical, en mêlant les musiques et les chants orientaux, classiques ou de variété, la chanson française, la pop et le rap. Cet éclectisme stylistique lui vaut d'être classée par l'industrie phonographique dans la catégorie des interprètes de « musiques du monde ». Elle obtient ses premiers succès en tant que chanteuse de Transglobal Underground à partir de 1993 et sur l'album Rising above Bedlam (1991) de Jah Wobble. Dans les pays francophones, elle reçoit un solide soutien de la diaspora maghrébine à la recherche d'une musique à son image et plus largement d'un public occidental amoureux de sa musique métissée. Forte de ce public, elle recevra en France une victoire de la musique pour son interprétation novatrice et l'orchestration orientalisée de la chanson Mon amie la rose (1999) de Cécile Caulier interprétée en 1964 par Françoise Hardy. Natacha Atlas interprètera à la télévision ce même titre en duo avec Francis Cabrel. En 2013, elle participe avec Samy Bishai à la musique du ballet "les Nuits" d' Angelin Preljocaj inspiré des contes des mille et une nuits dont la première mondiale a lieu le 29 avril 2013 à Aix-en-Provence dans le cadre de Marseille-Provence 2013, Capitale européenne de la culture. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
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Dilemme
A partir d’un fait divers meurtrier… et à travers le thème de l’avortement, clivage profond aux Etats-Unis… L’histoire de deux familles brisées par l’assassinat d’un père par un autre père (pro-choix contre pro-vie)… l’Amérique qui s’oppose, deux « camps » s’ignorant, se méprisant, se haïssant parfois… deux visions du monde qui s’affrontent… l'ouverture contre le sectarisme. Deux mères perdues, les enfants (dommages collatéraux) devant vivre avec la mort de leur père respectifs… le refus de la situation, le déni de conscience sur sa propre responsabilité… le chemin de la rédemption ne sera pas le même pour tous et toutes… Livre humaniste malgré tout… poignant… c’est assez bien ficelé, intelligent, sans prosélytisme… c’est parfois comme un rapport d’enquête… troublant, fort, puissant… l’écriture est ample, déliée, vivante, variée, malgré certaines redondances liés aux narrations parallèle… On aborde les motivations des deux « camps », on ne tombe pas dans la caricature… on vit de l’intérieur les répercussions de ce meurtre sur la vie de ces deux familles que tout opposent… Les personnages sont profonds leurs émotions également… une tension est palpable tout au long de la lecture, mais on peut s’attacher aux deux familles, au-delà des convictions opposées… Le choix, toujours et encore… mais aussi, qu’est la femme réellement dans nos sociétés… La religion, l’éducation, la connaissance, l’évolution personnelle, le développement hors villes, bref, cela pose de nouveau d’énormes réflexions, réflexions qui ne devraient plus être au XXIème siècle…
Oriane - Le 07 janvier 2020 à 15:57