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Mille et un poèmes : poèmes choisis
Musique audio
Edité par Fnac Music - 1991
- Contient
- Exergue, Sensation, Ophélie, Le Forgeron, A la musique, Vénus anadyomène, Les Effarés, Roman, Au cabaret vert, Ma bohème, Les Assis, Tête de faune, Les Douaniers, Oraison du soir, Mes petites amoureuses, Accroupissements, Les Poètes de sept ans, Le Coeur du pitre, L' Orgie parisienne ou paris se repeuple, Le Mains de Jeanne-Marie, Les Soeurs de charité, Voyelles, L' Etoile a pleuré rose au coeur de tes oreilles, L' Homme juste, Lettres, Le Bateau ivre, Derniers vers, Comédie de la soif, Fêtes de la patience, Qu'est-ce pour nous mon coeur, Honte, Mémoire, Les Déserts de l'amour, Illuminations, Enfance, Conte, Royauté, A une raison, Matinée d'ivresse, Phrases, Les Ponts, Ville, Vagabonds, Villes, Aube, Marine, Solde, Promontoire, H, Dévotion, Génie, lettres
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Livre - 2000 - Petit Cube chez les Tout Ronds
Disponible à Médiathèque René-Cassin
Forme | Jeunesse | A MER | Livre | En rayonAutre format
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Biographie

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Biographie

Theodore Walter Rollins, plus connu sous le nom de Sonny Rollins, né le 7 septembre 1930 à New York, est un saxophoniste ténor et compositeur de jazz. Ses cinquante ans de carrière lui donnent aujourd'hui le statut de dernier géant en activité. Improvisateur forcené, croisant les genres, poussant à leurs limites le son et le phrasé, Rollins incarne l'esprit de quête inlassable dont le jazz noir américain est marqué. C'est à l'école du be-bop que le jeune Theodore Walter Rollins fait ses classes professionnelles, à partir de 1949. Ses premiers enregistrements pour le label Fantasy révèlent une sonorité pure et ample, héritée de Coleman Hawkins, une maîtrise rythmique et harmonique hors du commun et, déjà, un certain penchant pour la déconstruction et la reconstruction presque frénétique des thèmes. La reconnaissance du milieu newyorkais est immédiate. Il joue avec Miles Davis ou Thelonious Monk et enregistre sous son nom des albums devenus des classiques incontournables (Saxophone Colossus, en 1956) avec, à ses côtés, Max Roach, Clifford Brown, Tommy Flanagan et John Coltrane, le temps d'un Tenor Madness mémorable, . Au début des années 1960, alors que le succès public et critique ne se dément pas, la carrière impeccable manque de s'arrêter. Deux ans de doute, faute de nouveaux terrains à défricher. Il faut un voyage en Inde et des heures à jouer, seul, sous le pont de Williamsburg à New York pour le ramener en studio en 1962. Le disque du retour s'appelle The Bridge, et constitue un tournant. Tempos flottants, sonorité moins classique, Rollins brise les chaînes du hard-bop pour s'approprier les audaces du free-jazz émergent. Suivent la rencontre musicale avec Coleman Hawkins (Sonny meets Hawk), un album latin (What's new in jazz?) et une collaboration avec Elvin Jones (East Brodway rundown), alors fraîchement débarqué du groupe de John Coltrane. En 2007, il partage le Polar Music Prize avec Steve Reich. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.