L'Oiseau rouge

Livre

Duhameau, Elodie. Auteur

Edité par 400 coups - 2023

Coup de ♥ : Après le Croco qui vit chez papi, Elodie Duhameau revient avec son deuxième livre. Il s'agit cette fois d'une fable contemporaine mettant en vedette un chat rouge qui se prend pour un oiseau et un oiseau bleu plus futé qu'il n'en a l'air. Une confrontation fort amusante qui amènera le lecteur à se poser plusieurs questions.

Classification
Album

1 exemplaire disponible

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Livre - 1972 - Dicours, tome 19. Philippiques I à IV

Disponible à Médiathèque René-Cassin

Adulte | 875 CIC t.19 | Livre | En rayon, En réserve

Suggestions

Du même auteur

Le Croco qui vit chez papi

Livre | Duhameau, Elodie. Auteur. Illustrateur | 400 coups | 2022

Coup de ♥ : Le croco qui vit chez Papi est le tout premier album en tant qu’autrice de l’illustratrice Élodie Duhameau. Elle y présente une histoire d’amitié remplie d’humour et de personnages attachants, sensibilisant au détour l...

Le Vigile

Livre | Dupin, Olivier. Auteur | 400 coups | 2022

Coup de ♥ : Olivier Dupin nous offre un texte loufoque, rempli de situations amusantes, brillamment mis en image par Élodie Duhameau, qui s’est fort bien amusée à donner une personnalité à chacun de ces moutons. Et… aux loups auss...

Chez Gladys

Livre | Duhameau, Elodie. Auteur | 400 coups | 2023

Coup de ♥ : Après Le croco qui vit chez papi, l’autrice-illustratrice Élodie Duhameau continue son exploration de la vie des animaux en captivité avec une oeuvre amusante qui pose des questions pertinentes sur ce que nous définiss...

En savoir plus

Biographie

Cicéron, dont le nom romain (tria nomina) est {{langue|la|Marcus Tullius Cicero}}, né le 3 janvier -106 à Arpinum en Italie et mort assassiné le 7 décembre -43 à Formies, est un avocat, homme d'État, philosophe et écrivain romain. Il intervient dans les crises de la fin de la République romaine et finit victime des proscriptions en -43. Citoyen romain de province, il naît dans une famille de la classe équestre bien implantée à Arpinum, ville du Latium située à 100 km au sud-est de Rome. N'appartenant pas à la nobilitas, il n'est pas destiné à un rôle politique majeur et sera donc un homo novus dans les milieux dirigeants de Rome de la fin de la République. Rome est en proie à une crise politique majeure depuis l'époque des Gracques (-130/-120), conflit opposant les républicains conservateurs (optimates, le parti sénatorial) et les populistes (populares), antagonisme qui s'incarne dans les guerres civiles qui émaillent la fin de la République romaine, notamment dans la lutte entre Sylla (138-78) et Marius (157-86), puis entre Pompée (106-48) et César (100-44) dans les années 50 et 40 av. J.- C.. Après une solide formation de rhétorique et de droit, Cicéron réussit, grâce à son talent d'avocat, à se constituer suffisamment d'appuis pour accéder en -63 à la magistrature la plus élevée du cursus honorum, le consulat. C'est en tant que consul qu'il doit affronter le complot du populiste Catilina, qu'il déjoue grâce à quatre discours devant les sénateurs, les Catilinaires. Mais ce succès qui fait sa fierté provoque une condamnation à l'exil en -58, pour avoir fait exécuter plusieurs conjurés sans respecter les procédures légales. Revenu à Rome en -57, il ne joue plus de rôle important sur une scène politique dominée par Pompée et César, qui vient de commencer la conquête de la Gaule. Après la fin de cette guerre (-51), César entre en rébellion en -49, ce qui provoque une guerre civile. Cicéron rallie le camp de Pompée, avec hésitation, puis accepte de s'accommoder du pouvoir de César. Après l'assassinat de César, il se rallie à son fils adoptif, Octavien (futur Auguste) contre Marc Antoine, contre lequel il prononce quatorze discours, les Philippiques. Cette opposition lui vaut d'être proscrit et tué en 43 av. J.-C. Orateur remarquable, Cicéron est l'auteur de nombreux textes considérés comme des modèles de la langue latine classique et dont une grande partie nous est parvenue. Il consacre sa période d'inactivité politique à la rédaction d'ouvrages sur la rhétorique et à l'adaptation en latin des théories philosophiques grecques. En partie perdus pendant le Moyen Âge, ses ouvrages connaissent un regain d'intérêt durant la renaissance carolingienne, et surtout durant la Renaissance et à l'époque classique. Sa réputation s'affaiblit au XIX et dans la première moitié du XX, où il est considéré comme un simple compilateur des philosophes grecs. Pierre Grimal considère cependant qu'il a été un intermédiaire précieux, qui nous a transmis une partie de la philosophie grecque. Dans le domaine politique, les jugements des historiens ont souvent été sévères : intellectuel égaré au milieu d'une foire d'empoigne, parvenu italien monté à Rome, opportuniste versatile, « instrument passif de la monarchie larvée » de Pompée puis de César selon des spécialistes tels que Theodor Mommsen et Jérôme Carcopino. Sa correspondance - 954 lettres nous sont parvenues - est, par la variété de ton, la spontanéité de l'expression et la charge émotionnelle qu'elles portent, un témoignage exceptionnel sur la vie de leur auteur et sur l'histoire troublée de la fin de la République romaine.